Classe 1 : paramoteurs
Classe 2 : pendulaires
Classe 3 : multiaxes
Classe 4 : autogires
Classe 5 : ballons motorisés
Classe 6 : hélicoptères

Plus de détails sur la page des classes du site de la FFPLUM.

Un multiaxes est un petit aéronef sustenté par une voilure fixe, on peut facilement le confondre avec un petit avion. Seules différences, il est limité à un poids total volant de 450 kg et 100 CV de puissance. Ils sont toujours mono ou bi-places.

Un autogire est une sorte d’hélicoptère de « poche », avec sa voilure tournante, il se pilote par gouvernes aérodynamiques. Très maniable, facile à transporter et à stocker.

  • ULM signifie Ultra Léger Motorisé
  • Le mouvement ULM est issu du vol libre et du deltaplane des années 70
  • Les premiers ULM étaient des pendulaires (classe 2). Le monde de l’ULM s’est énormément développé au cours des années 1980, conquérant chaque année de nouveaux adeptes
  • Après les pendulaires pilotés par déplacement du centre de gravité sous l’aile, sont arrivées des machines multiaxes pilotées par des gouvernes aérodynamiques (classe 3). Bien loin de ressembler à des avions elles en partageaient néanmoins la mécanique de vol élémentaire en tous points. Une astuce pour différencier un ULM d’un petit avion : quand l’indicatif radio est inscrit sur la machine, la seconde lettre est un « J » ; ainsi les « Fox Juliette » sont des ULM français !
  • La naissance du parapente a amené rapidement celle du paramoteur (classe 1)
  • Les autogires (classe 4) quant à eux reposent sur un principe déjà connu depuis longtemps (1923) et ont vu leur renouveau il y a quelques années ; cela reste cependant la classe la plus méconnue ! et pourtant tellement surprenante et moderne …
  • la classe 5 des ballons motorisés de par l’infrastructure nécessaire est quelque peu à part et beaucoup plus confidentielle, seul quelque rares pratiquants souvent avec des programmes de recherche et développement perpétue la classe.
  • Plus récemment en 2012 une sixième classe hélicoptère a vu le jour (classe 6)
  • Six classes donc, avec chacune son domaine de vol plus ou moins étendu, sa qualification propre sur le brevet ULM. Partageant toutes un tronc commun théorique délivré par l’aviation civile, elles ont néanmoins des spécificités très différentes dans leurs pratiques dont la synthèse offrent une richesse inégalable en termes de sensations de vol.